Avis à tous les fans et aux amoureux de la kora impériale : soyez prêts pour la sortie numérique mondiale du nouvel album
La Source de
Zal Sissokho & Buntalo, le vendredi 8 septembre. Le concert de lancement aura lieu le samedi 9 septembre au
Club Balattou. Un rendez-vous pour tous, lancé généreusement par les « Griots de Montréal » sur la scène légendaire du Boulevard Saint-Laurent.
Au programme : des invités spéciaux pour une soirée digne de la Grande Histoire musicale montréalaise en deux moments. L’album intégral et ses neuf compositions sera dévoilé tel une offrande au public. Soyez-y, pour le rendez-vous mandingue de la Rentrée dont on parlera…
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Le griot messager sénégalais
Zal Sissokho revient envoûter nos sens de son jeu de kora. Son nouvel opus
La Source se décline en neuf œuvres magistralement interprétées par l’artiste auteur-compositeur. Cette fois-ci, le virtuose s’est entouré de deux acolytes maliens, merveilleux griots de la métropole –
Djely Tapa et
Diely Mori Tounkara. Et son compatriote Élage Diouf, coréalisateur de l’album, artiste frère qui lui a ouvert un premier passage sur les scènes du Québec, il y a plus de vingt ans.
La Source émerge de la mémoire sensible du koriste telle une gratitude pour celui ayant défriché le milieu culturel en prélude. Avec ses trois camarades issus de la même souche naît instinctivement la force originelle de l’Empire du Mandé, ce royaume africain se perpétuant dans la louange et la dignité. La reconnaissance du langage authentique, ancestral et si contemporain. L’âme vive ouvrant sur des histoires à une source qui ne se tarit jamais… Ces nouvelles mélodies confirment la maîtrise exemplaire de l’instrument mythique incarné par Zal Sissokho dont les 21 cordes vibrent à la tradition ouest-africaine avec toujours autant de modernité.
L’automne 2023 sonne un nouveau chant pour
Zal Sissokho : celui de
La Source (Disques Nuits d'Afrique / Believe). L’expression d’un être épris d’harmonie et de vivre-ensemble. Neuf pièces orchestrées qui font battre des mains et secouer des hanches comme à une fête pieds nus au village de l’Humanité ! Sur
Djeliya, la voix puissante de Djely Tapa soulève un hymne à l’art griotique mandingue. Une parole qui va droit au cœur :
« Nous naissons griots mais on ne le devient pas. » La chanson
Kela accorde la voix d’Élage Diouf en un credo à l’abandon à la vie. Car pour tout être humain, ce qui doit arriver surviendra.
Article envoyé a Sitanews par Les Disques Nuits d'Afrique